Angélique Carrington ressuscite la soirée Agatha en inventant un jeu mis en oeuvre par Selyan Onassis. Le concept consiste en une intrigue ou chacun campe un personnage fictif et doit résoudre un crime en relevant des indices dissimulés au sein des pièces cadres du jeu.

La 53ème Dodécade offre une pléïade de quizz musicaux dits "blind tests". La génération dite "Onassis" sous-entendu venue durant les Législatures gouvernées par le Chancelier Septime Onassis, étant, particulièrement intéressée par le chant, les karaokés et l'Insolite ayant énormément contribué à ce peuplement. Aussi, sous l'impulsion d'Angélique Carrington, en tant que Première Consul et via son entreprise "Western Carrington", les régions neustriennes proposent des blinds tests sous divers noms "Ciegorchestra" pour la Westphalie, "Werwaiss" pour l'Austrasie et encore "Lueba" pour le Maghreb, même si le jeu maghrébin introduit d'autres éléments que le blind test, lequel n'est orienté que sur des artistes natifs de la région. En outre Lueba offre deux autres jeux non musicaux.

"Paroles, paroles" est un jeu imaginé par Louis Ponthavelle et créé et animé, dès 626, par Selyan Onassis et TVLN, lors d'une soirée de Gala d'Honneur proposant de retrouver des mots manquants au sein de karaokés issus des chansons neustriennes. Le jeu se décline selon le schéma suivant : 1. les participants tirent, au hasard, une couleur qui les incarne et qui déterminera leur ordre de passage. 2. chacun son tour, les participants viennent chanter la chanson jusqu'à la phrase manquante. Dès lors, les autres participants ont 6 minutes CC (30 secondes) pour inscrire sur une fiche les mots qu'ils pensent être ceux qui manquent et remettent leurs fiches à l'animateur. 3. le candidat chanteur peut prendre des Jokers, au nombre de trois (Joker "Mot" qui coûte 2 points et révèle un mot de la phrase, Joker "Ami" qui coûte 3 points et permet de se faire aider d'un autre participant, Joker "Initiales" qui coûte 3 points et dévoile les initiales des mots manquants). 4. Si le candidat chanteur trouve la phrase exacte, il marque 10 points auxquels sont ôtés les points perdus par les Jokers, s'il trouve plus d'un mot, il marque 2 points et s'il trouve un mot, il marque 1 point. 5. Le participant désigné comme "Joker Ami" gagne 2 points si la réponse est exacte et 1 point s'il trouve un ou plusieurs mots. 6. Les autres participants marquent 4 points pour une réponse exacte, 2 points s'ils trouvent plus d'un mot et 1 point s'ils n'en trouvent qu'un seul. Les nouveaux venus sont associés à un Neustrien et appelés "co-équipiers".

"Qui veut prendre son Trône ?" est un jeu imaginé et proposé par Damien Delacroix, créé en 590, lors d'une soirée de Gala d'Honneur proposant plusieurs étapes afin d'atteindre le Trône. La 1ère étape consiste en un questionnaire de 5 questions pour lesquelles tous les candidats doivent répondre en une notule (1 minute) sur de la culture générale. Cette épreuve ne retient que 6 concurrents qui, chacun leur tour, vont devoir répondre à deux questions en choisissant si ils répondent "cash" sans proposition de l'animateur, "carré", 4 propositions faites ou "duo", seulement 2 propositions. Bien sûr les points sont dégressifs selon la prise de risque. A l'issue de cette deuxième épreuve, les 4 candidats ayant marqué le plus de points atteignent le 3ème palier. Là, sur un thème donné, les 4 adversaires doivent répondre à 3 questions "Duo", puis 3 questions "Carré" et enfin 3 questions "Cash". Cette 3ème épreuve est complétée d'une question subsidiaire qui peut faire gagner ou perdre 5 points et rebattre les cartes des concurrents. Au terme de cette épreuve se déroule la finale. La 1ère édition retient les deux ayant obtenu le plus de points sur la 3ème manche et là aussi ils s'affronteront en 6 questions (toujours Cash, Carré et Duo possible) chacun sur un thème précis et différent pour chaque candidat. Les éditions suivantes, le champion de la précédente sera en place et affrontera celui qui aura marqué le plus de points dans la dernière manche, sachant que c'est lui qui choisit les questions subsidiaires.

"Qui est qui ?" est un jeu imaginé et proposé par Nacer Bencheikh, en 410, lors d'une soirée des Equinoxes et va devenir l'un des jeux les plus appréciés des Neustriens. Après des épreuves éliminatoires qui s'articulent autour de culture générale et aussi de culture people, deux candidats se démarquent et arrivent en finale. Là, ils doivent restituer des anecdotes correspondant aux candidats éliminés et aux finalistes. Dès lors, les candidats racontent l'anecdote, comme si elle était leur. Après plusieurs attributions, les deux candidats stabilisent leurs choix et le gagnant est celui qui retrouve le plus grand nombre de correspondances entre les anecdotes et leurs véritables auteurs. C'est aussi l'un des jeux les plus accessibles aux nouveaux venus qui ont, même, été vainqueurs à plusieurs reprises.

Le terme "Les Couriades" est imaginé et inventé par Pedro II Grimaldi. Toutefois, si au départ, ce terme est envisagé pour les "Chasses", il sera abandonné lors de la mise en place de la chasse par Bruna-Christine Bourbon. Il faudra attendre 387, pour voir ressurgir ce terme, sous forme d'une proposition d'Alexy Borghèse. Les Couriades deviennent, désormais, le terme utlisé pour les jeux "musicaux" ou tournant autour de la musique. Plusieurs jeux se verront proposés dont des "Blind Tests", des jeux de culture musicale, ou encore le "Duopposé" consistant à affronter deux équipes, chacune défendant les couleurs d'un artiste.

La "Love Party" est un jeu imaginé et conçu par Alexy Borghèse. La petite histoire raconte que, quand Alexy Borghèse a planifié ce thème dans son calendrier culturel, elle n'avait encore aucune idée de ce qu'elle proposerait... Au delà même du jeu, la Love Party est devenu un concept culturel, à part entière, qui articule toute une soirée (en général en Verseau autour de la Saint Valentin) sur le thème de l'amour tandis que les jeux proposés ont évolué très régulièrement. Sa première version eut lieu en 385. Et c'est aussi l'un des rares thèmes à avoir connu de multiples organisateurs et animateurs.

"Le Baron Faible" est un jeu imaginé et mis en oeuvre par Alexy Borghèse, en 382. Il a remporté un tel succès qu'il perdure de nos jours, même s'il a connu une longue interruption d'une centaine d'années.

Le jeu consiste à répondre à des questions, chacun son tour, ce qui fait grimper une cagnotte à chaque bonne réponse et redescend à 0 à chaque mauvaise réponse, les concurrents doivent, également, "banquer" afin d'amasser le maximum d'argent avant qu'une mauvaise réponse ne fasse tout perdre. A l'issue de chaque manche, les concurrents éliminent l'un d'entre eux. La finale oppose les deux derniers en lisse. Celui qui ne chute pas à l'épreuve de la mort subite remporte la cagnotte.

Le "Courquizz" est un jeu conçu par Sa Majesté, l'Impératrice SO Ière (SO Bourbon) en 347. Premier jeu conçu en Neustrie, il est, uniquement, basé sur la culture neustrienne. Il reviendra, régulièrement, dans le programme culturel, ayant une soirée dédiée, pendant près d'un siècle (347 à 435). Différents animateurs et organisateurs du jeu se succèderont, durant près d'un siècle, modifiant les règles afin de garder une attractivité. C'est Estéban Phongin qui met un terme à cette récurrence, constatant le désamour des Neustriens envers ce jeu difficilement accessible aux néophytes. Il le retire, alors, du calendrier culturel neustrien récurrent et en fera une compétition permanente en tant que Gouverneur de Westphalie, à partir de 461. Cette compétition s'installe sur le Forum de Lutèce, imaginé, lui aussi, par Estéban Phongin, en tant que Chancelier. Cette nouvelle version consiste à ce qu'un Neustrien pose une question et que celui qui trouve la bonne réponse, pose à son tour, une question. Le jeu pendra fin en 525, après 1266 publications soit 12% des publications du forum de cette époque, faisant de ce sujet le premier sujet du forum, avec un succès phénoménal, comptabilisant 31 participants et 186 questions résolues. Ce succès contredit complètement le peu d'engouement que ce jeu remportait dans les salons. Et si le CourQuizz quitte le Web, il trouve une nouvelle jeunesse, en 593, sous l'impulsion du Chancelier Septime Onassis, qui en fait un jeu à but pédagogique, présent à chaque rendez-vous festifs (soit 10 CourQuizz par législature), sous la forme d'un module de 10 questions, en 10 minutes.

Ce sera aussi l'occasion de remettre le BAG et le CAS au goût du jour (deux diplômes qui n'étaient plus été usités) avec un tableau d'honneur et une remise de chapeaux d'étudiants aux lauréats, dès 605. Un nouveau succès...