La Gazette est le plus ancien produit neustrien, créée avant même l'existence d'un monde économique et d'une vie démocratique, en 316, sous le Règne de l'Impératrice SO Ière. C'est la Souveraine, elle-même, qui rédige sur une simple machine à écrire le tout premier numéro, baptisé numéro 0, lequel fera l'objet de deux rééditions, l'une par le Chancelier Pedro II Grimaldi, la seconde par Bruna-Christine Bourbon qui va, dès lors, prendre la prise en charge de la mise en page de la Gazette pour de nombreuses années. Très vite, c'est Phoebus Gantinier qui prend la suite de la rédaction de la Gazette qui devient un journal d'actualité annuelle récurrent. La Gazette va, par la suite, intégrer les publications des Editions des Lys. Elle portera plusieurs noms : "Gazette de Neustrie", "Gazette de La Cour", "Gazette Impériale", "Gayzette des Lys", "La Gayzette", "Point Gazette" et encore "Gayzette". Elle, sera, tantôt privatisée, tantôt nationalisée, et fera, l'objet de bien des convoitises. De nombreux journalistes et maquettistes ont contribué à sa publication. Là encore, parfois, seul un rédacteur, parfois plusieurs contribuent à l'écriture des articles préséntés sous différents noms de rubriques dont celle qui est demeurée en toute circonstance "ça bouge à la Cour". Les contenus et nombre de pages varient. Il faut attendre le n°44 pour voir s'installer la couleur et peu à peu, la place des photos est de plus en plus prépondérante. Si la Gazette est un emblême fort de La Cour, son ton assez conservateur, ses écrits très neustriens, ont pu, à une époque, en réduire la portée. Le journal qui était payant jusqu'en 476, ne suscitait plus guère d'intérêt et ne se vendait quasiment plus. C'est le Chancelier Wofgang Carrington (GSP) qui institua un contrat entre les Editions des Lys et l'Etat afin de distribuer, gratuitement, la Gazette, à tous les Neustriens. Si la distribution était généralisée, un autre constat était que la Gazette n'était pas lue pour autant. C'est le Chancelier Septime Onassis (ADS) qui, à son tour, va instituer, en 593, une idée relançant la lecture de la Gazette. En mettant en place le CourQuizz comme contrôle continu du processus pédagogique et en insérant des questions dont les réponses se trouvent dans la Gazette, Septime Onassis réussit son pari.

Gazette 296 à 307 (Dodécade 52 / 612-623)

Gazette 308 à 319 (Dodécade 53 / 624-635)

Gazette 320 à 331 (Dodécade 54 / 636-647)