L'Indice Boursier est créé en 389 par Alexy Borghèse, alors Chancelière de Neustrie. Appelé TAN 10, il prend, alors, en compte les valeurs capitalistiques des 10 entreprises neustriennes les plus riches de Neustrie. Cet indice, publié régulièrement, permet aux Neustriens de constater l'évolution de l'économie neustrienne. Cet indice, s'indexant sur les entreprises les plus prospères, donne un aperçu réel de la dynamique économique. Les entreprises intégrant le TAN 10 sont remplacées dès qu'elles ne sont plus parmi les 10 entreprises les plus riches. Si le TAN 10 est un bon indice de la tendance économique, certains courants considèrent qu'il peut avoir ses faiblesses et ne pas être suffisemment représentatif de l'état de la situation économique neustrienne. Cependant, il demeure en place invariablement depuis 389 et reste très attendu des parlementaires et du Gouvernement, conscients de l'impact psychologique joué par cet indice. En 518, la réforme Onassis exclut les entreprises publiques du TAN 10 et ne prend plus en compte que les 10 entreprises privées les plus riches. En 533, l'Indice se voit suspendu par l'arrêt du processus démocratique. Il faudra attendre 582 pour voir un retour de l'indice qui, toutefois, change d'appellation et devient le TAN 5, compte tenu de la réduction du nombre d'entreprises. A la différence du TAN 10 de 518, le TAN 5 de 582, prend en compte les sociétés privées et publiques, puisque, là aussi, la quasi totalité est, encore, publique. En 600, les privatisations effectuées par le Gouvernement Septime Onassis, placent, de fait, les 5 entreprises les plus riches dans le domaine privé. Dès lors, le Sénat, en 614, va confirmer que seules les valeurs des entreprises privées (SCP) sont comptabilisées dans le TAN 5.
Le TAN 5 (Total Actionnaire Neustrien des 5 meilleures sociétés) est un indice boursier qui prend en compte le total des 5 valeurs financières capitalistiques les plus élevées des SCP exprimés en Euros.
La Place Boursière a pour but la diffusion permanente des informations économiques, des évolutions capitalistiques des entreprises et des propositions d’achats, de fusion, acquisitions et reventes de parts actionnariales.