L'Encyclique est le registre établi par le Souverain Pontife énonçant les principes du Cathodisme, les titres cléricaux, les ordres ecclésiastiques établis, les cultes reconnus et les différents rôles alloués au Pontificat et à ses représentants. L'Encyclique présente les cérémoniaux officiels et les appellations usuelles cléricales et cathodiques. L'Encyclique ne peut être modifiée que par le Souverain Pontife. L'Encyclique ne peut pas être en contradiction avec la Constitution et se doit d'en respecter les principes. L'Encyclique fait référence des religions et dogmes présents et autorisés en Neustrie.

L’Encyclique est le livre de référence de la Civilisation Cathodique. Il est divisé en 7 Capitulaires précédés du Ménologue des auteurs signataires de l’Encyclique. Les 7 Capitulaires sont :

1° Capitulaire : Histoire du Cathodisme

2° Capitulaire : Principes Généraux du Cathodisme

3° Capitulaire : Structures de l’Eglise Cathodique

4° Capitulaire : Ordres Cléricaux

5° Capitulaire : Distinctions Cathodiques

6° Capitulaire : Organisation Cathodique

7° Capitulaire : Evénements Cathodiques

La première Encyclique a été instituée en 353 par la Papesse Jeanne après avoir été sacrée Première Papesse du Cathodisme en 335. Très basique, cette encyclique première référençait les saints et quelques fondamentaux de l'Eglise Cathodique et des Religions s'y référant. Volontairement floue pour laisser une plus grande liberté d'interprétation aux disciples du Cathodisme, cette Encyclique demeura près de 80 ans sans être touchée par les successeurs de la Papesse Jeanne.

Il faut attendre 429 pour voir une réforme majeure transformer profondément l'Encyclique. Voulue par le Pape Grégoire II, cette réforme enterrinée en 432, prendra le nom de Réforme Grégorienne et institue dès lors une Religion inspirée fortement du Catalanisme et une Eglise plus sévère rayant de ses fondements les principes libertaires jusque là admis. De même, sont balayées les anciennes cérémonies pour être remplacées par de nouveaux dogmes et de nouveaux rites. Si depuis le Pape François, la gestuelle solaire complétait les cérémoniaux habituels, désormais ce sont de nouveaux dieux empruntés à la mythologie catalaniste et de nouveaux rites usant de rubans de couleurs qui s'installent durablement dans l'Eglise Cathodique.

Si quelques aménagements "démocratiques" ont accompagné la réforme grégorienne, les réformes du Pape Innocent, adoptées en 480, vont renforcer l'autorité suprême du Pape et donner un caractère sévère et autoritaire à l'Eglise Cathodique.

La quatrième réforme va renouer avec les origines du Cathodisme et éradiquer les dérives autoritaires des réformes grégoriennes. Instituée sous l'influence de la Souveraine de Neustrie, SO II, et voulue par le Pape Jean, les nouveaux textes de l'Encyclique sont rédigés par Stanislas Onassis, un fervent Cathodique féru d'Histoire et qui permet de dépoussiérer les fondamentaux Cathodiques et des réligions qui s'y réfèrent. Dès son élection en 504, le Pape Jean ouvre le chantier des réformes et en 508, l'Encyclique est achevée pour être adoptée en 509. Démocratique et s'appuyant sur les valeurs fondamentales neustriennes, le Cathodisme s'inscrit dans une défense de la liberté d'expression et de la laïcité, devenant protecteur des fois et des libertés de conscience.

La cinquième réforme instituée par le Pape Alexandre, en 626, ne change pas, fondamentalement les principes de la IVème Encyclique mais en modifie l'apparence pour la rendre plus lisible et en simplifie bien des contours. En outre, le Pape Alexandre, attaché à la visibilité cléricale, y introduit de nombreux objets et costumes représentants les symbôles du Cathodismes. De nombreux investissements accompagnent cette réforme et dotent l'Eglise d'une riche panoplie de vêtures et objets significatifs.