Bien que "classé" dans les Souverainetés étrangères, le Pontificat du Vatican est totalement lié à l'Empire de Neustrie, étant une enclave territoriale de cet Empire créée par l'Impératrice SO Ière en 335 et dont le sort est étroitement lié à l'Empire de Neustrie avec qui il partage la même Constitution et les mêmes instances. Toutefois, depuis 335, le Pontificat n'a pas toujours eu les mêmes rapports avec la partie fondatrice. En 354, les liens entre l'Empire et le Pontificat se distendent quelque peu et l'Impératrice Régis-Emmanuelle se confronte avec la Papesse Jeanne et ses vélléités d'indépendance. En 360, l'élection du Pape Paul, proche de Régis-Emmanuelle, rabiboche les deux couronnes et permet à Régis-Emmanuelle de faire main basse sur la couronne du Vatican. En 364, avec l'avènement de l'Empereur Ronan Ier et le refus du Pape Paul de se rendre à Versailles pour le sacrer, en 365, créé de nouvelles tensions, qui vont s'accentuer encore avec la guerre de 370 qui oppose l'Empire de Neustrie aux Anglais et aux Russes. Si le Pape Paul ne prend pas parti, il profite de ce conflit pour réitérer ses désirs d'autodétermination et profitera des accords de paix de Verdun et des Mayas en 372 et 374, pour co-exister aux côtés des trois autres puissances en question : Neustrie, Angleterre et Russie au sein de la Confédération dite "Cathodique", un triomphe pour le Vatican dont le trône est restitué au Pape Paul. En 380, le Vatican acquiert un statut équivalent à celui de l'Angleterre comme royaume vassal, statut refusé par la Russie qui quitte l'Alliance. La Constitution de 380 confère au Royaume d'Angleterre et au Vatican des possibilités de positions indépendantes de l'Empire de Neustrie tout en étant lui liés au sein d'une Confédération. Cette situation demeurera en l'état jusqu'en 453 qui voit la mise en place d'une nouvelle Constitution qui redessine les contours de l'Empire intégrant, désormais, les territoires anglais au sein de l'Empire et accordant un protectorat de 10 provinces à la Souveraineté Pontificale. En outre, le Pontificat est davantage encadré par cette nouvelle Constitution et établit les pouvoirs et contre pouvoirs du Souverain Pontife, ainsi que ses textes de référence et les rapports entre la Couronne de Neustrie et celle du Vatican. Enfin, le Vatican, dans les protectorats obtenus, prend l'autorité sur le Grand Ordre de Malte, royaume éphémère de 307 à 334, même si le titre de Grand Commandeur reste associé à la Souveraineté Neustrienne. En 508, les réformes du Pape Jean et de l'Impératrice SO II confirment ces nouvelles dispositions et renforcent l'Eglise dans son rôle fédérateur. Antérieurement à 335, le Vatican découle de la Principauté de Rome, elle même née des accords de Turbigo en 307.
       
       
Wladimir Romanov
Pape Clément et Souverain Pontife (635-)
618-
Spartacus Phongin
Pape Grégoire III et Souverain Pontife (635-635)
511-635
Rodrigue-Emmanuel Kalven
Pape Alexandre et Souverain Pontife (580-635)
522-635
Thomas Borghèse
Pape Jean et Souverain Pontife (504-580)
466-580
Tancrède Beauvoir
Pape Innocent et Souverain Pontife (439-504)
419-504
Stéphane Berkossen
Pape Grégoire II et Souverain Pontife (417-439)
401-467
François-Emmanuel Grimaldi
Pape François et Souverain Pontife (406-417)
397-417
Patrick Musset
Pape Grégoire et Souverain Pontife (396-406)
349-406
Paul Kent
Pape Paul des Religions Cathodiques (360-396)
Souverain Pontife (374-396)

349-406
Ronan-Erwan Bonaparte
Souverain du Vatican (364-374)
336-387
Régis-Emmanuelle Médicis
Souveraine du Vatican (360-364)
296-364
Céline Courtenay
Papesse Jeanne et Souveraine du Vatican (335-360)
260-360

SO Bourbon
Princesse de Rome (332-335)
Commandeur de Malte (334-334)
254-354

Laurent Bourbon
Prince de Rome (307-332)
258-358

Marc Ponthavelle
Commandeur du Grand Ordre de Malte (307-334)
273-341